J’ai passé mon dimanche à jouer le touriste sur un mode intensif avec des amis mexicains de passage à Paris : à nous les Champs-Élysées bondés, Montmartre, le quartier chinois, le Petit Palais, les amusants trajets en bus et en métro, tout cela bien sûr en français, en espagnol, et souvent même dans une langue hybride que je maîtrise plutôt bien. De quoi passer une journée la tête dans les nuages tant qu’ils ne sont pas radioactifs…
Dans ces conditions, si mon butin photographique pour le blog est maigre (je ne suis pas un surhomme, bien que le doute soit permis) il n’en est pas moins de premier choix : le Petit Palais et son jardin en fleurs nimbé de soleil, de rose et de blanc vêtu dans son écrin de printemps.
De toute élégance, Philippe.
Magnifiques prises. Un régal ces cerisiers japonais.
Un petit “r” de trop peu à Montmartre !
Bonne et douce soirée.
Vinciane
Merci Vinciane, j’ai corrigé : Montmartre ne manque plus d’r !
La dominante serait plutôt blanc-rose et je suis heureux de vous retrouver avec ce désir de voir la vie en rose. Ces photos printanières font chaud au cœur ; nous en avions bien besoin. Merci… Serai-je le premier à commenter !? Ce serait bien la première fois…
Vous avez été devancé de très peu par Vinciane, plus rapide que son ombre !
magnifique . t’es tu arriver d’aller faire des photos au parc de bagatelle ? je me souviens …il y a 30 ans : il y avait une magnifique roseraie .
J’ai déjà fait paraître plusieurs billets sur Bagatelle. Il y a toujours une magnifique roseraie.
alors je vais retourner dans ton blog avec plaisir pour m’y ressourcer à nouveau .
Quel bonheur de vous accompagner dans cette balade printanière…
Le calme semble être revenu ici. Belles photos comme toujours.
Un grand plaisir de vous lire.
Magnifiques photos d’un lieu très agréable à cette saison, où je suis allée flâner en fin de semaine dernière, merci !
Merci Philippe pour cette merveilleuse balade au milieu des cerisiers en fleurs * * *
Chat’leureusement à vous,
Marie,
Ces merveilleuses photos me font rêver !!!
Bisous. Co
Superbe tes photos!! merci pour cette balade! Cathy
Une superbe balade et surtout de magnifiques photos.
Philippe de gris-bleu n’est donc pas un surhomme, quelle déception ! Mais comme le doute est permis, sait-on jamais.
C’est bon de temps en temps de jouer au touriste, cela nous permet de découvrir de très beaux endroits.
Merci pour la balade.
Magnifique photos mais cela devient une habitude de vous l’écrire…J’aime beaucoup le rose des cerisiers et surtout cette photo d’un parasol devant une peinture de paysage, quelque peu insolite mais charmante !
n’ayant rien à ajouter à tous ces commentaires je vous dirai simplement :
MERCI pour cette douceur
Caroline
La nature se réveille tout doucement. MAgnifique !!!
Un peu de douceur dans ce monde de folie et de catastrophe.
Virginie
et oui la place Du tertre ses peintres , ses folies
mon pére pour mes 18 ans , m’ avait fait faire un portrait au fusain
comme cadeau d’ anniversaire
que de beaux souvenirs c’ était en 1967
vos prises de vues sont pleines de tendresse et de douceurs
revoir PARIS avec vos yeux ( magnifiques j’ en suis certaine ) égal à vos
oreilles :::::::::::::: donne du baume au coeur
tendresse EDITH
Le portrait au fusain Place du Tertre…
Edith Dutertre,..
Que de tendresse dans ce nom.
Bonne journée Edith
Anne qui eut 18 ans la même année
Les paris en travers sont donc terminés…
Il était temps, peut-être de passer à autre chose., même si le sujet est loin d’être clos.
Quittons cet espace obscur pour une promenade enchantée.
La petite musique qui l’accompagne, conversations à tâtons, mélange de langues mal maitrisées, lui donne un petit charme vacancier.
La beauté laissant sans voix, les silences se partagent. Courants d’air de brises légères, bruissements des premières feuilles, chants d’oiseaux amoureux.
Ils rappellent à nous, la puissance de la vie.
Ce parasol, accessoire indispensable des peintres paysagistes, nous entraine loin, à Barbizon.
Vos messages éveillent toujours un souvenir dans lequel je pars à l’aventure.
Vos portes et fenêtres, s’ouvrent sur un horizon toujours changeant.
L’on peut rester là, entre vos murs, le contempler de loin.
Choisir d’entrebâiller la porte, suivre un chemin qui serpente entre les arbres.
Ou passer par la fenêtre.
C’est ce que je fais, emportant avec moi l’ombrelle.
Je la ramènerai, c’est promis.
A bientôt Philippe
Votre silhouette de bel hidalgo, et son ombre sur le sol…
Gardien de rêves… Quel beau métier !
Anne, aucune ombre ou silhouette qui m’appartienne ici, je suis demeuré sagement derrière mon appareil !
Bonjour,
vos photos sont magnifique, cela représente bien le printemps, votre ombrelle a la couleur vanille, on se sent bien en les regardant.
Cela donne du baume au cœur.
Bonne journée a vous.
Marina
Paris vu sous cet angle est vraiment MAGNIFIQUE !
Les photos toujours aussi belles.
A bientôt *
C’est gentil de nous avoir épargné Paris et ses travers …
Je suis un blogueur très attentionné !
êtes- vous d’ origine Espagnol ?
je suis bien curieuse n’ est ce pas ; mais bon , on répond ou pas !
mon mari est d’ origine Catalane ( BARCELONE ) superbe capitale
les vacances de pâques étaient bien sur de ce côté
avec une halte à Toulouse et Carcassonne , famille oblige
j’ arrête , je deviens trop familière _ je vais me cacher derrière l’ ombrelle
EDITH
Edith, non je n’ai pas d’origine espagnole…
Le butin est loin d’être maigre, il nous illumine le regard .
J’adore ta dernière photo: une vraie bouffée d’air frais :-)
Ma dernière visite au Petit Palais remonte à décembre, sous la neige on aurait dit le palais de la reine des glaces.
Trois mois plus tard, la vie en rose… encore une fois, de belles photos.
Tu n’es pas un surhomme ?! Pouah…
Faudra donc se contenter de tes si jolies photos, avec un coup de coeur pour l’ombrelle ! Merci de cette chouette ballade printanière et legere !
Birgit, je suis désolé de te décevoir brutalement !
Magnifiques photographies, un hymne à la vie, une renaissance perpétuée chaque année, je ne me lasse jamais … Encore un peu, j’y verrai un couple d’amoureux à la manière de Robert Doisneau …
Merci donc pour cette fraicheur des images, un peu de douceur pour mon corps piégé par la douleur de la maladie ….
Véro
Pictures and blog full of poetry… I love all your images…
Vos photos sont magnifiques. J’aime particulièrement celle avec le cerisier en fleurs, les couleurs sont superbes. Est ce vous que nous apercevons ?
Non Nadette, je ne suis sur aucune des photos.
Voici ce que m’écrit une amie à propos de vous : “Philippe est un homme orchestre, harpiste, flûtiste… Il est celui que la folie ambiante ne pollue pas ; il est vrai, il vient de naître. tout ce qu’il touche n’est que délicatesse, tout ce qu’il regarde un songe pastel … J’aime l’image de cette splendeur fleurie. On voudrait s’abriter sous les branches, écouter la chansonnette des abeilles, le zézaiement des bourdons, en attendant que les pétales s’envolent au vent frivolant ou deviennent un doux tapis pour un corps endolori et un cœur en débandade…” Convenez que cela aurait été dommage que je le garde pour moi tout seul.
Très dommage même ! ;-)
Bonsoir,
Vous avez tord de mettre en doute vos capacités surhumaines!! en provinciale que je suis je n’aurais pas imaginé pouvoir trouver une nature si belle un mois de mars à la capitale!!
bonne soirée et merci pour ces si beaux clichés
Véro
j’adore ces photos qui nous balladent dans la capitale où vous arrivez a sublimer une vision de la nature parisienne !
merci pour ce bon moment passé sur votre blog
Bienheureux Gris Bleu…
Philippe,
Je ne crois pas à la neutralité.
Ni dans l’écriture, ni dans la prise de vues.
Les mots viennent sans que nous contrôlions réellement leur origine.
L’appareil photo nous tombe des mains à certains moments, et à d’autres, nous amène à appuyer sur le déclencheur. Avec le sentiment que quelque chose qui doit être arrêté, dans le temps qui passe.
Il y a un non dit dans tout acte de création. Cette impulsion incontournable.
Même si ce n’est pas vous qui figurez sur vos clichés, peu importe à qui appartient cette ombre. Quelqu’un de proche, un alter égo inconnu ?
Vous vous êtes d’une certaine façon reconnu ou identifié.
Je ne retire rien de mon commentaire, l’hidalgo gardien de rêves est là, en filigrane dans votre silhouette.
Anne