bonjour Philippe,
quel bonheur votre blog ! enfin un blog qui ne ressemble en rien aux autres….. de la délicatesse, de la fraîcheur, de la douceur, de la poésie….etc et les photos sont très belles, très artistiques, d’une simplicité et d’une beauté qui me ravissent…… vous êtes un poète !
à bientôt
cathydan
Comme je passe quotidiennement sur ce blog en quête de fraicheur, d’images inspirées et de commentaires enlevés, je tenais à en féliciter le génial rédacteur. Depuis que je lis gris-bleu, je me prends à rêver de ma trentaine dans un petit mais fabuleux appartement d’artiste où je vivrais entouré du ronron génial de quelques incroyables animaux de compagnie, entouré de milles trouvailles chinées çà et là, de quelques amis tolérants de ma cuisine festive et de mon humour que je voudrais aussi primesautier que le vôtre . Je vous tire une virtuelle mais non moins grandiose révérence pour l’incroyable et géniale balade que vous nous offrez ici.
Guillaume, après un tel commentaire, que dire si ce n’est vous inciter à commenter plus souvent ?
Tout cela vaut le meilleur des encouragements à contiunuer en tout cas. Merci, donc, et bienvenue !
Bonjour Philippe
Je suis ravie d’avoir éveillé votre curiosité. Grâce à vous, nous avions déjà des visites régulières de plusieurs de vos commentatrices, mais je n’espérai pas la vôtre.
Dans ce blog, j’excelle au mentir-vrai. Mon enfance, contrairement à ce qui se dégage de mes récits, n’eut rien d’heureux.
Rien n’est inventé mais un regard sélectif me permet de mettre en exergue les moments heureux. Il m’arrive de prendre plusieurs souvenirs pour un raconter un, de modifier les dates, d’introduire un personnage qui n’était pas présent. Et l’écrit remplace définitivement le vécu.
Mon maitre en la matière est Fellini, dont je n’aime vraiment qu’Amarcord. Les émois de l’adolescent qu’il fut pendant la guerre, avec en background, la vie de sa famille, ses joies et ses peines et son village sous le fascisme.
Il fit le choix de tourner en studio plutôt qu’en décors naturel à Rimini.
Aux reproches qui lui furent adressé, il répondit que le cadre réel de son enfance l’aurait empêché de faire vivre celle qu’il avait faite sienne.
J’ai la chance d’échapper aussi aux décors naturels…
Vous l’aurez remarqué je suis repassée au voussoiement. Le tu spontané n’est pas naturel chez moi, mais il semble être devenu la règle sur la toile, et je m’y suis conformée. Ce n’est pourtant pas mon style de ne pas suivre mon instinct, mais vouvoyer et se voir répondre “tu”, a fini me lasser.
PS J’utilise un autre ordinateur qui ne cesse d’afficher qu’il ne peut télécharger le contenu de la bannière. Il doit manquer un logiciel. Auriez-vous une piste à me donner.
Merci
PS Je n’ai pas trouvé vos photographies, et bien qu’abonnée à la newsletter depuis longtemps, et d’avoir lu le premier blog dans son intégralité, je ne garde en mémoire qu’un portrait assez flou, celui d’un homme nettement plus âgé, vêtu avec goût. Bien que vos chaussettes fussent invisibles et que c’est là que mes yeux recherche si elle signent ou non une “harmonie” absolue.
Amicalement
Anne
Anne, oui, par un heureux processus la mémoire se détourne volontiers de nos moins bons souvenirs et opère une sélection naturelle des meilleurs. En distordant ensuite légèrement tout ça, voilà qu’on trempe déjà un orteil dans l’exercice littéraire…
Vous avez raison d’être repassée au vous. Il ne faut jamais se conformer à la majorité, être fidèle à soi doit être la seule règle. Comme vous, je me suis essayé au tutoiement dans les premiers commentaires que j’ai laissés, avant de faire marche arrière très vite : ce n’était pas moi. Je suis plus à l’aise avec le vous. Je n’ai rien contre le tutoiement, mais il faut lui laisser le temps de s’installer. Ou pas. D’ailleurs, lorsqu’une personne laisse ici un premier commentaire en me tutoyant, j’ai tendance à le ressentir comme une agression. Bref, vive le vous, et vive le non conformisme !
Concernant la bannière, cela m’arrive aussi parfois, mais je ne sais absolument pas ce qui peut en être la cause.
Pour répondre à votre dernière “interrogation” : vous trouverez tout simplement mes photos en cliquant sur “A propos” sous la bannière. Les choses les plus évidentes ne sont pas toujours celles que l’on voit tout de suite. ;-)
C’est étrange, je n’ai jamais vu cette page, sur laquelle il faut sans doute faire la démarche d’aller.
C’est un choc pour moi que de voir ce jeune homme à mille lieux de celui avec qui j’avais des rendez-vous régulier au fil des semaines. D’où me vient cette image en velours côtelé et cashmere ?…
Je me demande si cela n’aurait pas modifié ma relation avec le blog.
Par contre, le questionnaire m’a ravie. Comme l’on ne mentionne pas les chats, je pourrai répondre à l’identique. Excepté pour le premier objet chiné. Mais j’ai également une pampille en verre ronde, à travers laquelle j’aime regarder cet autre univers bien au-delà du miroir.
Le fait d’ignorer presque tout des personnes avec qui l’on correspond conduit parfois à ce genre de surprise.
Mon ami de Rome est tombé de sa chaise quand a compris quel était mon âge. Il pensait que j’avais comme lui 35 ans ! Mais ce détail fut vite oublié…
Nabou dit
Très jolie palette qui fait frais à l’âme
Merci Philippe
bonne chaude journée
Florence dit
Festival en rose pour ce début d’été, merci !
Smokethorn dit
Une palette belle et fleurie ^^
betty dit
Juin ou “Philippe en fashion victim mais toujours frais et poétique”…
Quel beau mois!
Marie dit
Bonjour Philippe,
Plein de fraîcheur * * * Ca fait du bien par ces journées caniculaires !!!!!
Chat’leureusement à vous,
Marie,
Carole dit
Très pastel, très doux, très frais
merci Philippe.
giveto dit
trés féminin .
Philippe dit
Giveto, non, masculin : les couleurs tendres, le rose, le fushia etc. ne sont plus un apanage féminin désormais, il faudra vous y faire ! ;-)
cathydan dit
bonjour Philippe,
quel bonheur votre blog ! enfin un blog qui ne ressemble en rien aux autres….. de la délicatesse, de la fraîcheur, de la douceur, de la poésie….etc et les photos sont très belles, très artistiques, d’une simplicité et d’une beauté qui me ravissent…… vous êtes un poète !
à bientôt
cathydan
Philippe dit
Bienvenue Cathydan !
Guillaume dit
Comme je passe quotidiennement sur ce blog en quête de fraicheur, d’images inspirées et de commentaires enlevés, je tenais à en féliciter le génial rédacteur. Depuis que je lis gris-bleu, je me prends à rêver de ma trentaine dans un petit mais fabuleux appartement d’artiste où je vivrais entouré du ronron génial de quelques incroyables animaux de compagnie, entouré de milles trouvailles chinées çà et là, de quelques amis tolérants de ma cuisine festive et de mon humour que je voudrais aussi primesautier que le vôtre . Je vous tire une virtuelle mais non moins grandiose révérence pour l’incroyable et géniale balade que vous nous offrez ici.
Dixi.
Philippe dit
Guillaume, après un tel commentaire, que dire si ce n’est vous inciter à commenter plus souvent ?
Tout cela vaut le meilleur des encouragements à contiunuer en tout cas. Merci, donc, et bienvenue !
Lili boheme dit
C’est frais et poétique.Différent des autres carnets d’inspiration, je trouve…Mais joli, toujours !
Emilienne de La Levrette dit
Vous me rendez nostalgique du mois de juin!
anne dit
Bonjour Philippe
Je suis ravie d’avoir éveillé votre curiosité. Grâce à vous, nous avions déjà des visites régulières de plusieurs de vos commentatrices, mais je n’espérai pas la vôtre.
Dans ce blog, j’excelle au mentir-vrai. Mon enfance, contrairement à ce qui se dégage de mes récits, n’eut rien d’heureux.
Rien n’est inventé mais un regard sélectif me permet de mettre en exergue les moments heureux. Il m’arrive de prendre plusieurs souvenirs pour un raconter un, de modifier les dates, d’introduire un personnage qui n’était pas présent. Et l’écrit remplace définitivement le vécu.
Mon maitre en la matière est Fellini, dont je n’aime vraiment qu’Amarcord. Les émois de l’adolescent qu’il fut pendant la guerre, avec en background, la vie de sa famille, ses joies et ses peines et son village sous le fascisme.
Il fit le choix de tourner en studio plutôt qu’en décors naturel à Rimini.
Aux reproches qui lui furent adressé, il répondit que le cadre réel de son enfance l’aurait empêché de faire vivre celle qu’il avait faite sienne.
J’ai la chance d’échapper aussi aux décors naturels…
Vous l’aurez remarqué je suis repassée au voussoiement. Le tu spontané n’est pas naturel chez moi, mais il semble être devenu la règle sur la toile, et je m’y suis conformée. Ce n’est pourtant pas mon style de ne pas suivre mon instinct, mais vouvoyer et se voir répondre “tu”, a fini me lasser.
PS J’utilise un autre ordinateur qui ne cesse d’afficher qu’il ne peut télécharger le contenu de la bannière. Il doit manquer un logiciel. Auriez-vous une piste à me donner.
Merci
PS Je n’ai pas trouvé vos photographies, et bien qu’abonnée à la newsletter depuis longtemps, et d’avoir lu le premier blog dans son intégralité, je ne garde en mémoire qu’un portrait assez flou, celui d’un homme nettement plus âgé, vêtu avec goût. Bien que vos chaussettes fussent invisibles et que c’est là que mes yeux recherche si elle signent ou non une “harmonie” absolue.
Amicalement
Anne
Philippe dit
Anne, oui, par un heureux processus la mémoire se détourne volontiers de nos moins bons souvenirs et opère une sélection naturelle des meilleurs. En distordant ensuite légèrement tout ça, voilà qu’on trempe déjà un orteil dans l’exercice littéraire…
Vous avez raison d’être repassée au vous. Il ne faut jamais se conformer à la majorité, être fidèle à soi doit être la seule règle. Comme vous, je me suis essayé au tutoiement dans les premiers commentaires que j’ai laissés, avant de faire marche arrière très vite : ce n’était pas moi. Je suis plus à l’aise avec le vous. Je n’ai rien contre le tutoiement, mais il faut lui laisser le temps de s’installer. Ou pas. D’ailleurs, lorsqu’une personne laisse ici un premier commentaire en me tutoyant, j’ai tendance à le ressentir comme une agression. Bref, vive le vous, et vive le non conformisme !
Concernant la bannière, cela m’arrive aussi parfois, mais je ne sais absolument pas ce qui peut en être la cause.
Pour répondre à votre dernière “interrogation” : vous trouverez tout simplement mes photos en cliquant sur “A propos” sous la bannière. Les choses les plus évidentes ne sont pas toujours celles que l’on voit tout de suite. ;-)
Rafaèle dit
Des chemises et des fleurs mais pas de chemises à fleur !
Bises de Rouen, ma “fabrique à nostalgie” que j’apprécie aussi de vivre au présent….
Philippe dit
Rafaèle, c’est qu’il faut de la matière pour les nostalgies futures ! ;-)
Boissier dit
Qui êtes vous Philippe ?
Philippe dit
Bernadette, c’est une question à laquelle j’aurais du mal à répondre…
Emilienne de La Levrette dit
@Boissier
Un homme de goût qui a du talent! Voilà la réponse, cher Monsieur!
Thé et graminées dit
Très frais, très juin. J’aime énormément ces assemblages de photos. Très bel univers. Merci.
kristinco dit
Jolie palette pour ce mois de Juin !!!
anne dit
C’est étrange, je n’ai jamais vu cette page, sur laquelle il faut sans doute faire la démarche d’aller.
C’est un choc pour moi que de voir ce jeune homme à mille lieux de celui avec qui j’avais des rendez-vous régulier au fil des semaines. D’où me vient cette image en velours côtelé et cashmere ?…
Je me demande si cela n’aurait pas modifié ma relation avec le blog.
Par contre, le questionnaire m’a ravie. Comme l’on ne mentionne pas les chats, je pourrai répondre à l’identique. Excepté pour le premier objet chiné. Mais j’ai également une pampille en verre ronde, à travers laquelle j’aime regarder cet autre univers bien au-delà du miroir.
Le fait d’ignorer presque tout des personnes avec qui l’on correspond conduit parfois à ce genre de surprise.
Mon ami de Rome est tombé de sa chaise quand a compris quel était mon âge. Il pensait que j’avais comme lui 35 ans ! Mais ce détail fut vite oublié…
Anne
Philippe dit
Anne, elle doit vous venir du fait que, précisément, j’étais à 20 ans plus velours côtelé/cashmere que jean…