Le hasard des “clics” fait bien les choses: me voici dans les premières à admirer votre travail :)
PS: le problème de sidebar semble résolu sous explorer.
Merci Chloé, mais il va falloir que je regarde quand même de plus près ce qui se passe sous internet explorer car je vois de toute façon que mon logo en haut à gauche ne s’affiche pas…Ah, la technique !! Grrrr !
jacquelinedit
Je suis enchantée de connaitre Walter ! Et je dis chapeau bas monsieur Philippe.
Philippe,
Mon coeur penche pour le cadrage de ton illustration sur la deuxième photo (en détail).
C’est superbe.
Je dirais même… Parfait! Tout est dit sans avoir le personnage en entier et c’est ce qui me plaît…
non, non Minie, le coup de crayon en l’occurrence est fait sur une feuille de craft au crayon à papier et crayon pastel.
Ceci dit cela n’ôte rien à votre compliment qui n’est pas du tout exagéré ! ;-)
Takiplagedit
Magnifique!
Takiplagedit
C’est un vrai plaisir de venir chez vous, Gris-Bleu! Raffinement, élégance et douceur se conjuguent pour offrir une véritable parenthèse enchantée! Que l’esprit souffle toujours par ici! Merci!
Oui…enfin qu’il ne souffle pas trop non plus, qu’on n’attrape pas un rhume ! ;-)
fleur de seldit
Walter est très raffiné,très dandy.J’aime particulèrement ce camaïeu de tons beige et taupe.La cravate et les boutons ressortent superbement, de toute façon, l’or j’adore (non,je ne fais pas la pub du parfum) je ne suis pas blonde, et il me manque quelques centimètres! votre travail est cependant magnifique Philippe!
Alexandra, l’huile je ne la maîtrise pas encore de façon concluante. Mais mes créations numériques font appel à plusieurs techniques : si ça finit dans l’ordi, ça commence avec du papier, des crayons, des pastels, de la gouache, de l’encre de chine, de l’acrylique etc.
Vous allez dire que ça devient une habitude mais est ce que le fond n’aurait pas un peu viré au marron? gris marron? marron glacé? mont blanc de chez Angelina? (je m’égare)
Walter au sourire énigmatique, belle composition. On dirait une toile peinte sur du bois, l’effet de texture est très beau, et la cravate dorée donne un côté précieux. Bravo !
Delphine, j’ai d’abord dessiné Walter sur du craft naturel avant de le prendre en photo pour le mettre dans l’ordi. La texture finale est rendue grâce à la photo d’une feuille peinte à la gouache (à l’éponge) : vous savez tout ! ;-)
Moi, franchement, je veux bien adopter Walter, il me plait beaucoup et il est d’une belle élégance. Réfléchissez-y monsieur Gris-bleu… Beau week end à vous deux. brigitte
Brigitte, Walter devrait pouvoir devenir adoptable, j’y réfléchis beaucoup en ce moment. Il saurait être une présence à la fois sympathique et discrète au sein d’un foyer chaleureux… ;-)
Je découvre ce blog en suivant le questionnaire d’arcenic et dentelles. Je suis émerveillée par les photos et les créations, le choix des mots…..tout est d’une harmonie si agréable et reposante ! Je vais en faire profiter ma maman,ancienne des beaux arts et professeur d’arts plastiques à la retraite, elle devrait apprécier.Merci pour ce doux moment.
Péponette
J’ai été interloquée en voyant ce dessin. C’est avec un gilet exactement semblable que j’imagine Augustin Meaulnes à son retour dans le monde réel. Son visage, non… différent. Plus proche du portrait d’adolescent d’Alain-Fournier.
J’ai lu ce livre, passage obligé, lors de mes études secondaires et mon esprit rebelle rejetant toute contrainte, je n’en garde aucun souvenir
Je l’ai découvert il y a quelques années, à l’occasion d’une de ces rencontres extrêmement troublantes, quand deux personnes qui ne se connaissent pas et ne sont pas amenées à se revoir, se sentent soudainement si proches, qu’elles se confient de façon très intimes. C’est au cours de cet instant que ce livre a été cité.
C’était la fin d’un voyage solitaire, l’autre personne m’avait louée une petite maison dans un jardin sauvage, au pied du château de ce village.
Grâce à elle j’ai eu une dernière journée étrange. Le matin elle m’a confiée les clés du château et celles de l’église.
J’aime en m’installant ainsi dans un lieu inconnu, le faire de façon à “l’habiter” vraiment. L’endroit si prêtait d’autant mieux, que la ruelle qui y conduisait, se terminait en plein champ et j’adorais rentrer chez mois en soulevant la petite et vieille barrière, “réservé aux riverains”.
J’étais donc riveraine, et je suis devenue châtelaine passant d’une tour à l’autre, déjeunant sur les remparts, guettant au loin l’ennemi, rêvant et écrivant dans le jardin des simples. L’église était belle. Entre Roman et Baroque, ornée d’un lustre magnifique.
Partir était un déchirement, et c’est le lendemain, mes bagages déjà chargés qu’eut lieu cette conversation.
A peine étais-je rentrée chez moi que dans mon refus coutumier de reprendre ma vie d’ici, je me suis accrochée à ce livre comme à une montgolfière. Il m’a bouleversée, je l’ai relu. Je n’arrivais ni à le quitter, ni à comprendre par quelle stupidité, il pouvait tomber par obligation entre les mains d’adolescents à qui manquait d’avoir vécu.
Le trouvant laid, je l’ai relié à ma façon. Utilisant ce portrait d’adolescent d’Alain-Fournier à l’air assez rebelle lui aussi, un fac-similé du manuscrit et le fermant sur les trois cotés à l’aide de fins rubans noirs.
Il contient entre ses pages, entre ses mots, une part de ma vie, de la vie d’un ami à qui je l’ai offert, identique au mien, et qui l’a terminé en larmes.
Que faire de ce message ?
Je viens de revivre cette période de façon si intense que j’en tremble presque.
Ne m’en voulez pas si je ne lis pas votre texte sur Augustin Meaulnes.
Rien ne peut être aussi fort que le battement de mon cœur à la vision de votre dessin, que l’on dirait doré à la feuille, et qui sut ranimer une flamme vacillante.
J’ai été interloquée en voyant ce dessin. C’est avec un gilet exactement semblable que j’imagine Augustin Meaulnes à son retour dans le monde réel. Son visage, non… différent. Plus proche du portrait d’adolescent d’Alain-Fournier.
J’ai lu ce livre, passage obligé, lors de mes études secondaires et mon esprit rebelle rejetant toute contrainte, je n’en garde aucun souvenir
Je l’ai découvert il y a quelques années, à l’occasion d’une de ces rencontres extrêmement troublantes, quand deux personnes qui ne se connaissent pas et ne sont pas amenées à se revoir, se sentent soudainement si proches, qu’elles se confient de façon très intimes. C’est au cours de cet instant que ce livre a été cité.
C’était la fin d’un voyage solitaire, l’autre personne m’avait louée une petite maison dans un jardin sauvage, au pied du château de ce village.
Grâce à elle j’ai eu une dernière journée étrange. Le matin elle m’a confiée les clés du château et celles de l’église.
J’aime en m’installant ainsi dans un lieu inconnu, le faire de façon à “l’habiter” vraiment. L’endroit si prêtait d’autant mieux, que la ruelle qui y conduisait, se terminait en plein champ et j’adorais rentrer chez mois en soulevant la petite et vieille barrière, “réservé aux riverains”.
J’étais donc riveraine, et je suis devenue châtelaine passant d’une tour à l’autre, déjeunant sur les remparts, guettant au loin l’ennemi, rêvant et écrivant dans le jardin des simples. L’église était belle. Entre Roman et Baroque, ornée d’un lustre magnifique.
Partir était un déchirement, et c’est le lendemain, mes bagages déjà chargés qu’eut lieu cette conversation.
A peine étais-je rentrée chez moi que dans mon refus coutumier de reprendre ma vie d’ici, je me suis accrochée à ce livre comme à une montgolfière. Il m’a bouleversée, je l’ai relu. Je n’arrivais ni à le quitter, ni à comprendre par quelle stupidité, il pouvait tomber par obligation entre les mains d’adolescents à qui manquait d’avoir vécu.
Le trouvant laid, je l’ai relié à ma façon. Utilisant ce portrait d’adolescent d’Alain-Fournier à l’air assez rebelle lui aussi, un fac-similé du manuscrit et le fermant sur les trois cotés à l’aide de fins rubans noirs.
Il contient entre ses pages, entre ses mots, une part de ma vie, de la vie d’un ami à qui je l’ai offert, identique au mien, et qui l’a terminé en larmes.
Que faire de ce message ?
Je viens de revivre cette période de façon si intense que j’en tremble presque.
Ne m’en voulez pas si je ne lis pas votre texte sur Augustin Meaulnes.
Rien ne peut être aussi fort que le battement de mon cœur à la vision de votre dessin, que l’on dirait doré à la feuille, et qui sut ranimer une flamme vacillante.
* Tout simplement magnifique, j’adore
la finesse et le détail de cette illustration… ~~
Philippe !
Bon Dimanche ~
Bon dimanche à vous aussi Almaraye, bien que nous ne parlions pas du même ! ;-)
Le hasard des “clics” fait bien les choses: me voici dans les premières à admirer votre travail :)
PS: le problème de sidebar semble résolu sous explorer.
Merci Chloé, mais il va falloir que je regarde quand même de plus près ce qui se passe sous internet explorer car je vois de toute façon que mon logo en haut à gauche ne s’affiche pas…Ah, la technique !! Grrrr !
Je suis enchantée de connaitre Walter ! Et je dis chapeau bas monsieur Philippe.
Jacqueline, c’est à lui d’être enchanté de vous connaître !
Beige et or, de la finesse dans les tons et dans les traits. Tout comme cette très jolie bannière… Admiration comme toujours. Amitiés. frédérique
Oui Frédérique, la bannière a pris sa parure d’hiver…
superbe
Merci Véronique, je lui transmets !
Un air sage mais des détails un brin fantaisiste, bravo !
Nathalie, il est comme moi : ne pas se fier à son air sage !
Philippe,
Mon coeur penche pour le cadrage de ton illustration sur la deuxième photo (en détail).
C’est superbe.
Je dirais même… Parfait! Tout est dit sans avoir le personnage en entier et c’est ce qui me plaît…
Paulette va faire rougir Walter ! Si je le vois filer à l’anglaise ce soir, au moins je saurai à qui il veut rendre visite !
Très très beau, les traits sont fins, bien dessinés.
Belle semaine à toi.
Vinciane
Merci Vinciane, passe un bon dimanche.
Tout simplement magnifique, un coup de crayon numérique d’un grand maître. Bravo. Belle semaine.
non, non Minie, le coup de crayon en l’occurrence est fait sur une feuille de craft au crayon à papier et crayon pastel.
Ceci dit cela n’ôte rien à votre compliment qui n’est pas du tout exagéré ! ;-)
Magnifique!
C’est un vrai plaisir de venir chez vous, Gris-Bleu! Raffinement, élégance et douceur se conjuguent pour offrir une véritable parenthèse enchantée! Que l’esprit souffle toujours par ici! Merci!
Oui…enfin qu’il ne souffle pas trop non plus, qu’on n’attrape pas un rhume ! ;-)
Walter est très raffiné,très dandy.J’aime particulèrement ce camaïeu de tons beige et taupe.La cravate et les boutons ressortent superbement, de toute façon, l’or j’adore (non,je ne fais pas la pub du parfum) je ne suis pas blonde, et il me manque quelques centimètres! votre travail est cependant magnifique Philippe!
Merci Valérie !…Et puis l’or est un bon placement en ces temps de “crise” !
Très beau…Fais-tu autre chose que des créations numériques? C’est drôle mais je te verrais plutôt aux prises avec la toile et la peinture à l’huile …
Alexandra, l’huile je ne la maîtrise pas encore de façon concluante. Mais mes créations numériques font appel à plusieurs techniques : si ça finit dans l’ordi, ça commence avec du papier, des crayons, des pastels, de la gouache, de l’encre de chine, de l’acrylique etc.
Un délicieux petit côté romantique allemand walter, où suis-je influencée par son nom?, Amitié, Martine
Sans doute Martine, je ne vois que ça !
Vous allez dire que ça devient une habitude mais est ce que le fond n’aurait pas un peu viré au marron? gris marron? marron glacé? mont blanc de chez Angelina? (je m’égare)
Non Chloé, le fond ne bouge pas, toujours blanc comme neige !
j’arrive un peu tard pour te fêter un bon anniversaire de blog(mais où étais je ??)
des bises mon cher!
Sûrement enfermée dans ta cabane en bois sous 3 mètres de neige !
Walter au sourire énigmatique, belle composition. On dirait une toile peinte sur du bois, l’effet de texture est très beau, et la cravate dorée donne un côté précieux. Bravo !
Delphine, j’ai d’abord dessiné Walter sur du craft naturel avant de le prendre en photo pour le mettre dans l’ordi. La texture finale est rendue grâce à la photo d’une feuille peinte à la gouache (à l’éponge) : vous savez tout ! ;-)
Moi, franchement, je veux bien adopter Walter, il me plait beaucoup et il est d’une belle élégance. Réfléchissez-y monsieur Gris-bleu… Beau week end à vous deux. brigitte
Brigitte, Walter devrait pouvoir devenir adoptable, j’y réfléchis beaucoup en ce moment. Il saurait être une présence à la fois sympathique et discrète au sein d’un foyer chaleureux… ;-)
Je découvre ce blog en suivant le questionnaire d’arcenic et dentelles. Je suis émerveillée par les photos et les créations, le choix des mots…..tout est d’une harmonie si agréable et reposante ! Je vais en faire profiter ma maman,ancienne des beaux arts et professeur d’arts plastiques à la retraite, elle devrait apprécier.Merci pour ce doux moment.
Péponette
Péponette, merci et bienvenue à vous !
J’ai été interloquée en voyant ce dessin. C’est avec un gilet exactement semblable que j’imagine Augustin Meaulnes à son retour dans le monde réel. Son visage, non… différent. Plus proche du portrait d’adolescent d’Alain-Fournier.
J’ai lu ce livre, passage obligé, lors de mes études secondaires et mon esprit rebelle rejetant toute contrainte, je n’en garde aucun souvenir
Je l’ai découvert il y a quelques années, à l’occasion d’une de ces rencontres extrêmement troublantes, quand deux personnes qui ne se connaissent pas et ne sont pas amenées à se revoir, se sentent soudainement si proches, qu’elles se confient de façon très intimes. C’est au cours de cet instant que ce livre a été cité.
C’était la fin d’un voyage solitaire, l’autre personne m’avait louée une petite maison dans un jardin sauvage, au pied du château de ce village.
Grâce à elle j’ai eu une dernière journée étrange. Le matin elle m’a confiée les clés du château et celles de l’église.
J’aime en m’installant ainsi dans un lieu inconnu, le faire de façon à “l’habiter” vraiment. L’endroit si prêtait d’autant mieux, que la ruelle qui y conduisait, se terminait en plein champ et j’adorais rentrer chez mois en soulevant la petite et vieille barrière, “réservé aux riverains”.
J’étais donc riveraine, et je suis devenue châtelaine passant d’une tour à l’autre, déjeunant sur les remparts, guettant au loin l’ennemi, rêvant et écrivant dans le jardin des simples. L’église était belle. Entre Roman et Baroque, ornée d’un lustre magnifique.
Partir était un déchirement, et c’est le lendemain, mes bagages déjà chargés qu’eut lieu cette conversation.
A peine étais-je rentrée chez moi que dans mon refus coutumier de reprendre ma vie d’ici, je me suis accrochée à ce livre comme à une montgolfière. Il m’a bouleversée, je l’ai relu. Je n’arrivais ni à le quitter, ni à comprendre par quelle stupidité, il pouvait tomber par obligation entre les mains d’adolescents à qui manquait d’avoir vécu.
Le trouvant laid, je l’ai relié à ma façon. Utilisant ce portrait d’adolescent d’Alain-Fournier à l’air assez rebelle lui aussi, un fac-similé du manuscrit et le fermant sur les trois cotés à l’aide de fins rubans noirs.
Il contient entre ses pages, entre ses mots, une part de ma vie, de la vie d’un ami à qui je l’ai offert, identique au mien, et qui l’a terminé en larmes.
Que faire de ce message ?
Je viens de revivre cette période de façon si intense que j’en tremble presque.
Ne m’en voulez pas si je ne lis pas votre texte sur Augustin Meaulnes.
Rien ne peut être aussi fort que le battement de mon cœur à la vision de votre dessin, que l’on dirait doré à la feuille, et qui sut ranimer une flamme vacillante.
J’ai été interloquée en voyant ce dessin. C’est avec un gilet exactement semblable que j’imagine Augustin Meaulnes à son retour dans le monde réel. Son visage, non… différent. Plus proche du portrait d’adolescent d’Alain-Fournier.
J’ai lu ce livre, passage obligé, lors de mes études secondaires et mon esprit rebelle rejetant toute contrainte, je n’en garde aucun souvenir
Je l’ai découvert il y a quelques années, à l’occasion d’une de ces rencontres extrêmement troublantes, quand deux personnes qui ne se connaissent pas et ne sont pas amenées à se revoir, se sentent soudainement si proches, qu’elles se confient de façon très intimes. C’est au cours de cet instant que ce livre a été cité.
C’était la fin d’un voyage solitaire, l’autre personne m’avait louée une petite maison dans un jardin sauvage, au pied du château de ce village.
Grâce à elle j’ai eu une dernière journée étrange. Le matin elle m’a confiée les clés du château et celles de l’église.
J’aime en m’installant ainsi dans un lieu inconnu, le faire de façon à “l’habiter” vraiment. L’endroit si prêtait d’autant mieux, que la ruelle qui y conduisait, se terminait en plein champ et j’adorais rentrer chez mois en soulevant la petite et vieille barrière, “réservé aux riverains”.
J’étais donc riveraine, et je suis devenue châtelaine passant d’une tour à l’autre, déjeunant sur les remparts, guettant au loin l’ennemi, rêvant et écrivant dans le jardin des simples. L’église était belle. Entre Roman et Baroque, ornée d’un lustre magnifique.
Partir était un déchirement, et c’est le lendemain, mes bagages déjà chargés qu’eut lieu cette conversation.
A peine étais-je rentrée chez moi que dans mon refus coutumier de reprendre ma vie d’ici, je me suis accrochée à ce livre comme à une montgolfière. Il m’a bouleversée, je l’ai relu. Je n’arrivais ni à le quitter, ni à comprendre par quelle stupidité, il pouvait tomber par obligation entre les mains d’adolescents à qui manquait d’avoir vécu.
Le trouvant laid, je l’ai relié à ma façon. Utilisant ce portrait d’adolescent d’Alain-Fournier à l’air assez rebelle lui aussi, un fac-similé du manuscrit et le fermant sur les trois cotés à l’aide de fins rubans noirs.
Il contient entre ses pages, entre ses mots, une part de ma vie, de la vie d’un ami à qui je l’ai offert, identique au mien, et qui l’a terminé en larmes.
Que faire de ce message ?
Je viens de revivre cette période de façon si intense que j’en tremble presque.
Ne m’en voulez pas si je ne lis pas votre texte sur Augustin Meaulnes.
Rien ne peut être aussi fort que le battement de mon cœur à la vision de votre dessin, que l’on dirait doré à la feuille, et qui sut ranimer une flamme vacillante.
Love this !!!!!
Je suis arrivée ici par hasard, et n’en suis pas repartie bredouille, c’est très beau !
Bienvenue à vous Zoé !